Majorettes lubriques |
Julie défilait avec les majorettes depuis son plus jeune âge. Elle avait commencé à s'entraîner dès 5 ans, sous l'impulsion de sa mère, qui, elle même, avait connu son heure de gloire au sein de la troupe. Aujourd'hui âgée de 19 ans, Julie commençait à s'interroger sur la poursuite de cette activité. Il est vrai qu'à la fac, les rares garçons qu'elle rencontrait n'était sans doute pas prêts à entendre sans un sourire la révélation de ses activités "culturelles". Le problème était que sa capitaine avait toute confiance en elle. Sa longue expérience, acquise au prix d'années de sacrifices, lui permettait d'occuper une place à part dans l'équipe.
Souvent, c'est elle qui tenait le premier rôle. Elle était d'ailleurs, en ce moment même, sur la scène de la salle polyvalente, entourée de ses jeunes camarades. Promue soliste, elle faisait tourner son bâton de twirling au grand plaisir des spectacteurs. Perdue dans ses pensées, exécutant machinalement sa prestation, elle ne se rendit pas compte tout de suite qu'elle s'était trompée de chorégraphie. Pendant plusieurs dizaines de secondes, elle exécuta une danse saccadée, totalement déconnectée du rythme que crachait la sono. Quand elle s'aperçut de sa méprise, elle se sentie complètement ridicule et pour la première fois, incapable de reprendre le dessus. Son bâton tomba, elle trébucha et fût prise d'une honte subite, s'imaginant, pantin désarticulé, objet de la risée du public. Elle s'enfuit de la scène, se précipitant vers les vestiaires pour y cacher ses larmes.
Julie pleurait chaudement. En quelques instants elle s'était décidée. Elle ne pouvait plus continuer à faire l'enfant sur scène ou dans les rues. A son âge, ses camarades avaient d'autres préoccupations. Elles occupaient autrement leurs week-end. Défiler en mini jupe à volants et collants-résille, du galon sur le épaules et bottines blanches au pied ne correspondait pas à l'image que les garçons qu'elle côtoyait se faisaient de leurs petites amies. Non, cette fois c'était décidé, elle arrêterait définitivement ses activités de majorette dès demain.
Les larmes à peine séchées, Julie reçue la visite de sa capitaine dans les vestiaires. Là haut, dans la salle le spectacle continuait sous les applaudissements des spectateurs. Christine, jolie jeune femme de 32 ans n'avait pu s'empêcher cependant de venir voir son élève préférée. Dès son arrivée, elle tenta de la consoler
. - Tu sais, ce n'est pas grave. C'est le genre de chose qui arrive une fois de temps en temps. Je n'y ai pas coupé. Moi aussi j'ai connu ce genre de mauvaise journée. Personne ne t'en veux. Le public t'a applaudi quand même quand tu es sortie de scène. Ne t'inquiètes pas, la prochaine fois, tu n'y penseras même plus. - Il n'y aura pas de prochaine fois Christine ! C'est fini, j'arrête les majorettes. Ca fait bientôt 15 ans que je passe tous mes moments de loisirs à faire ça. Je ne peux plus, ce n'est plus de mon âge.
Christine est consternée. Sa meilleure élève, sa plus fidèle partenaire, lui annonce qu'elle quitte la troupe sur un coup de tête. Elle ne l'entend pas de cette oreille et tente de raisonner la jeune fille.
- Tu dis ça parce que tu es fatiguée et un peu fâchée pour cet après-midi. Réfléchis un peu et je suis sûre que tu reviendras sur ta décision. Tu ne peux pas te passer de nous. Oublierais-tu tous les bons moments que nous avons passé ensemble ? Dois-je te les rappeler ?
Joignant le geste à la parole, elle s'empare du bâton de twirling de Julie et le fait rebondir dans sa main. Julie sait où elle veut en venir.
- Non, je n'oublie rien, mais comprends moi, je suis grande maintenant. Quand je défile, je sens les regards des hommes qui se posent sur moi. Je sais qu'ils matent ma croupe et mes cuisses sous ma petite jupe blanche. Je perçois leurs regards lubriques à travers mon uniforme. Je dois grandir, je ne suis plus une petite fille.
- Tu sais bien que tu resteras toujours ma petite fille. Quand je t'ai rencontrée tu avais 5 ans et moi 18. Te souviens tu de nos escapades dans ce même vestiaire il y a quelques années. Laisse les hommes penser ce qu'ils veulent. C'est naturel après tout. Mais rien ne vaut notre complicité.
Cette fois, Christine fait carrément glisser le bâton vers Julie. Elle lui en caresse les cuisses.
- Et puis, ce bâton magique, il va te manquer lui aussi. Tu ne voudrais quand même pas l'abandonner à son triste sort ? Il va s'ennuyer loin de toi.
Le tube métallique, flanqué de ses deux embouts en caoutchouc glisse sur le nylon des collants. Il remonte le long des cuisses de la jeune majorette. L'indécente caresse rappelle à Julie ses souvenirs d'adolescente. Quand, âgée de 15 ans à peine, elle rencontrait secrètement Christine et d'autres camarades dans les vestiaires. Les jeux érotiques faisaient alors partie intégrante de l'entraînement des majorettes. Combien de fois se sont-elles retrouvées, entièrement nues sur le banc, à 4 ou 5 jeunes pucelles, en train de se peloter la croupe ou les seins ? Julie ne saurait le dire exactement, mais sûrement des dizaines de fois.
Le bâton pervers se faufile entre les jambes résillées de la jeune fille. Il vient buter sur la motte rebondie de Julie. Elle ne porte pas de culotte. Cette habitude aussi date de l'époque ou la capitaine lubrique exigeait une totale disponibilité de ses recrues. L'objet, habilement manipulé, tente à présent de se frayer un passage vers la vulve de Julie.
- Je vois que tu ne portes toujours pas de culotte. C'est bien, tu gardes les bonnes habitudes. Pourquoi voudrais-tu donc nous quitter. Tu es des nôtres et cela en est la preuve. Tu sens mon bâton, comme il est curieux. Ecarte un peu les cuisses qu'il vienne te voir d'un peu plus près.
Malgré elle, Julie entrouvre un peu plus largement les cuisses. Christine en profite alors pour, à travers l'étoffe déjà humide, pousser le bâton un peu plus loin, toujours plus prêt du sexe haletant de la jeune lesbienne.
- Tu le sens qui cherche ta chatte ? Il veut y rentrer pour te faire jouir. Il connaît bien le chemin, depuis le temps. N'ai pas peur, écarte tes cuisse encore. Je sais que tu peux faire mieux, tu m'en as déjà donné la preuve bien souvent.
Le gros embout caoutchouteux cherche à forcer le passage de la caverne d'amour. Les lèvres juvéniles s'écartent doucement pour mieux le laisser entrer. Il entraîne sans douceur le collant à l'intérieur du sexe affamé de Julie. Celle-ci ne peut plus désormais cacher le trouble grandissant qui l'envahit.
- Oh, oui ! Oooooh ! Christine, tu entres ton bâton en moi à travers le collant ! Oh, tu ne m'as jamais fait ça ! Tu es de plus en plus vicieuse ! Mais c'est bon ! Continue, continue ! Encore ! c'est doux, je sens le nylon dans ma chatte ! Il me caresse les muqueuses. C'est vraiment trop bon ! Oooooooh ! Oui !
La capitaine libertine ne se fait pas prier. L'instrument de twirling est maintenant entré au quart de sa longueur. Surtout, le renflement de son extrémité est entièrement immergé dans le vagin trempé de Julie. Le poignet de Christine, dans un brusque mouvement circulaire, le fait tourner au fond du sexe béant. De sa main restée libre, elle caresse sans douceur la pulpe de la cuisse droite de son objet sexuel favori. L'outil de majorette vrille les chairs de Julie, bute au fond de son trou, toujours habillé du collant distendu. Celui-ci est trempé de mouille, presque jusqu'aux genoux.
Julie, renversée en arrière, s'est saisie de ses deux seins à pleines mains et les malaxe sans ménagement.
- Vas-y, branle moi bien au fond ! Lime moi la cramouille ! Je veux le sentir tout au fond de moi. Encore plus au fond ! Aaaaaah, aaaaaaaah ! Julie ahane de manière saccadée. Son plaisir est intense et l'objet qui fouille ses chairs la comble de joie. Sa capitaine est vraiment experte en twirling et mérite bien qu'on lui ai confié l'éducation des jeunes recrues.
Christine se penche sur son amante et de sa langue charnue lui entrouvre délicatement les lèvres. Les deux jeunes femmes s'embrassent à pleine bouche. Les lèvres humides se joignent en un baiser indécent, les langues se cherchent, les dents s'entrechoquent. Le baiser mouillé étouffe avec peine les gémissements qui, sans cela, s'échapperaient du vestiaire.
- Aaaaah ! Oooooooooh ! Oui ! Capitaine, tu me fais jouir ! C'est trop bon !
Le bâton pilonne maintenant la chatte de Julie sur un rythme intense. Christine, au comble de l'excitation, a fait glisser sa main restée libre vers son propre sexe et le branle furieusement.
- Tiens, prends ça ! Et ça ! Tu le sens mon engin ? Il te fait jouir ? Et bien jouis cochonne. Ah tu voulais me quitter ? Et bien vois ce que tu perdras ! Crie, allez crie gamine vicieuse !
L'extase est proche pour Julie. Elle a maintenant délaissé sa poitrine gonflée pour saisir d'une mai le bâton et participer elle aussi au pilonnage. Les deux femelles poussent et tirent en même temps l'objet pour hâter la survenue de l'orgasme. Leur comportement est presque bestial tant l'excitation est grande. Le malheureux collant de Julie, inondé de son jus, est tendu à l'extrême sur ses cuisses. Le bâton d'aluminium et de caoutchouc entre et sort violemment du jeune vagin pour mieux le défoncer.
Le moment arrive enfin où, dans un cri unanime, les deux majorettes laissent éclater leur plaisir. Elles s'effondrent ensemble sur le banc de bois qui accueille régulièrement leurs jeux pervers, en duos ou en groupes. Le collant détrempé accompagne la sortie du bâton vicieux et la chatte distendue peine à retrouver peu à peu un état plus décent. Les gémissements laissent la place aux soupirs et aux halètements qui suivent un effort trop violent Les deux amantes se serrent dans les bras l'une de l'autre, tremblantes d'émotion et épuisées.
Dans un timide souffle, Christine laisse échapper ces quelques mots à l'attention de sa camarade de débauche.
- Tu sais, Julie, je crois que tu feras, plus tard, une excellente capitaine.
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